177 jours après le début des frappes sur Gaza, nous sommes toujours là à manifester tous les samedis pour faire cesser le massacre et le génocide des Palestiniens de Gaza.
Nous sommes de moins en moins nombreux, mais de plus en plus déterminés. Avons-nous le choix ? Évidemment que non. Se taire, c’est accepter le génocide. Se taire, c’est trouver que c’est normal qu’une puissance étrangère sous prétexte de se défendre, massacre et affamé tout un peuple. Se taire, c’est être complice. Nous ne serons jamais complices de l’innommable !
